Étiquette : 14 octobre

  • Pour Vernier : des propositions concrètes pour des résultats tangibles

    Pour Vernier : des propositions concrètes pour des résultats tangibles

    Texte paru le 10 octobre dans la Tribune de Genève – Face à face

    Être candidat le 14 octobre à l’élection au Conseil administratif de Vernier, deuxième commune du canton, est un privilège et une responsabilité, surtout quand on y a passé la quasi-totalité de sa vie.

    Ce que je suis devenu je le dois à Vernier et à Genève, aux rencontres que j’ai eu la chance d’y faire, à cet environnement dans lequel j’ai pu me former et qui me permet aujourd’hui d’exercer un métier que j’aime, celui d’avocat. Aujourd’hui, j’aimerais pouvoir rendre un peu de cela à ma commune et aux Verniolans, car trop d’amis auprès desquels j’ai grandi n’ont pas eu ces opportunités.

    Ces amis qui n’ont pas eu les mêmes opportunités, comme les Verniolans qui rencontrent des difficultés, ne demandent pas l’aumône, mais des coups de pouce et du soutien pour créer ces opportunités qu’ils saisiront.

    La mise en place d’une maison du droit répond à ces aspirations. Les habitants y trouveront les réponses et les orientations face à des difficultés ponctuelles dues à des décisions incompréhensibles d’autorités ou des accidents de la vie. Souvent, les solutions existent, encore faut-il les connaître. Une maison du droit y participerait.

    Vernier jouerait une fois encore son rôle de laboratoire d’idées, un rôle si important des communes, que Vernier a souvent joué sous l’impulsion de Thierry Apothéloz et du Conseil administratif actuel.

    Il incombe également aux communes de favoriser la participation citoyenne.

    A ce titre, Vernier a innové avec les contrats de quartier qui permettent aux habitants de mettre en place des projets de voisinage pour le bien de tous. Je veux aller plus loin en accompagnant la création de forums participatifs dans lesquels les Verniolans pourront débattre et participer au quotidien à la vie de la commune.

    Cette participation je souhaite aussi lui donner toute sa signification en organisant plusieurs fois par année des rencontres entre les habitants des différents quartiers et les autorités. Les Verniolans pourront alors aborder tous les sujets qui les préoccupent et apporter leurs suggestions et leurs critiques à l’exécutif.

    Cette forme de participation met également en exergue le rôle essentiel des communes dans le lien de proximité avec la population.

    Vernier a gardé cette proximité entre autorités et habitants par de multiples manifestations. Je veux la renforcer avec des mesures simples et ludiques.

    J’aimerais donc que la commune organise des jeux interquartiers lors desquels, par le(s) sport(s), les habitants et les autorités se rencontreraient. Ce rapprochement dans une atmosphère détendue aiderait à développer plus encore le lien de confiance indispensable entre habitants, et avec les élus.

    Ce sont des propositions concrètes pour des résultats tangibles.

    C’est mon engagement, c’est ma responsabilité en tant que candidat au Conseil administratif de Vernier le 14 octobre.

    Martin Staub
    Conseilleur municipal, député et candidat PS au Conseil administratif de Vernier

  • L’horizon au-delà des citernes

    L’horizon au-delà des citernes

    A la question de l’éditorial de la TdG du 27 septembre 2018 de M. Rossier : la réponse est oui. Il faut raser les citernes de Vernier, pas toutes dans un proche avenir mais il faut les raser.

    Dans l’article qui accompagne l’éditorial, les nuisances, visuelles notamment, et dangers induits par les citernes massées sur la commune de Vernier sont très bien cernés. Cependant, malheureusement, une résignation s’impose à les voir rester comme la « rançon du succès » de Genève.

    Des solutions existent

    Quel manque d’ambitions pour Genève et pour Vernier. Comment croire que nous ne pouvons pas à l’horizon 2032 nous passer des 30 citernes situées sur le terrain de l’État de Genève, en face d’Ikea ? Se résigner, sans imaginer et penser au-delà de ces silhouettes si communes pour Vernier, nous pouvons et devons faire mieux…et les solutions existent.

    La transition énergétique est en marche, elle ne s’arrêtera pas. Nous devons l’intensifier dans tous les domaines. En plaçant un objectif à 2032, cela stimule les projets, afin d’arriver à se passer en grande partie du mazout : la géothermie est encouragée par les SIG, le solaire devient de plus en plus efficace, les bâtiments sont rénovés pour une réduction de la consommation d’énergie etc. Croyons en la capacité des Genevois-es de se projeter dans une économie plus verte.

    Mutualiser les réserves

    Mais cela ne suffira peut-être pas, alors rationalisons et mutualisons. Même les pourcentages annoncés par les pétroliers démontrent qu’en mutualisant les réserves des capacités de stockages supplémentaires existent, qui permettraient de dégager en 2032 de l’espace pour les 30 citernes des terrains de l’État.

    Et l’aéroport, horizon indépassable pour certains. Un développement raisonnable est pourtant souhaitable mais surtout possible. Nous devons avoir cette ambition ; l’économie genevoise a besoin de l’aéroport mais pas à n’importe quelles conditions : la santé des riverain-e-s, des Verniolan-es et des Genevois-es n’est pas négociable.

    Un danger trop important pour Vernier et Genève

    Plus largement, la Suisse doit-elle conserver une stratégie de stockage héritée de la guerre froide ? N’y-a-t-il pas des compromis à trouver ? De la décentralisation des lieux de stockage à imaginer ? La politique et la diplomatie doivent créer une marge de manœuvre.

    Alors oui, il faut raser les citernes de Vernier car les nuisances et dangers sont très (trop) importants pour être ignorer et parce que nous devons avoir l’ambition de répondre aux défis de notre avenir commun.

    Martin Staub
    Candidat au Conseil administratif de Vernier
    Conseiller municipal de Vernier et député

  • Martin Staub candidat à l’élection partielle au Conseil administratif

    Martin Staub candidat à l’élection partielle au Conseil administratif

    Le Conseiller municipal et député suppléant socialiste Martin Staub est candidat à l’élection partielle au Conseil administratif en remplacement de Thierry Apothéloz.

    C’est au Lignon que l’Assemblée générale du Parti socialiste de Vernier a désigné le 8 juin 2018 Martin Staub comme candidat à l’élection partielle au Conseil administratif de Vernier.

    L’avocat de 34 ans a obtenu une large majorité de 40 voix contre 7 contre le conseiller municipal Junior Mazolo.

    Avec ce choix, le parti socialiste part uni et motivé pour conserver le siège de Thierry Apothéloz, élu au Conseil d’Etat.

    Enfant de la commune, Martin Staub est entré au Conseil municipal en 2013. Il a été réélu en 2015. Il a été président du Conseil municipal de juin 2016 à mai 2017. Il est titulaire du brevet d’avocat, diplômé de sciences politiques de l’Université de Genève et en politiques publiques de la University college of London. En plus de ses mandats électifs et de son métier d’avocat, Martin Staub siège au conseil de fondation de la Fondation HBM Emile-Dupont.

    Enrichi de ses expériences tant professionnelles, personnelles que politiques, Martin Staub est convaincu de pouvoir apporter des solutions audacieuses et innovantes aux défis qui attendent la commune les prochaines années.

    Fort du soutien de sa section et de ses militant-e-s, il est déterminé à mener une campagne de terrain, de tous les instants, afin de l’emporter le 14 octobre 2018.

    Homme de dialogue, socialiste convaincu et ouvert, Martin Staub saura répondre aux souhaits des Verniolan-e-s d’un Conseiller administratif proche des gens, constructif et efficace.