Parti Socialiste de Vernier

Elections municipales · 2ème tour

Étiquette : parti socialiste

  • Coup de projecteur sur Gladys Acosta Brandrup, candidate au Grand Conseil

    Coup de projecteur sur Gladys Acosta Brandrup, candidate au Grand Conseil

    Gladys Acosta Brandrup
    48 ans, Educatrice de la petite enfance, Conseillère municipale à Vernier.
    Chère population Genevoise, C’est avec plaisir que je présente ma candidature pour le Grand Conseil. La Suisse, et tout particulièrement Genève, est victime d’inégalités entre les classes sociales qui grandissent de plus en plus. Je souhaite que le but de nos journées ne soit pas juste de gagner assez d’argent pour réussir à payer nos factures à la fin du mois. Il s’agit là bien de vivre et non de survivre. Nous devons sortir de cette solitude dont souffre notre population et nous permettre de nous recentrer sur les liens sociaux et le partage. Nous tous, avons besoin de nous engager ici et maintenant, avec l’aide de la politique, afin de faire plus pour la société. En effet, je suis convaincue qu’il est possible de nous offrir un monde meilleur si nous travaillons tous ensemble.

    → Toutes et tous les autres candidat-e-s socialistes au Grand Conseil sur http://www.ps-ge.ch/candidats

  • Thierry Apothéloz, travailleur social et juriste, s’est engagé au PS

    Thierry Apothéloz, travailleur social et juriste, s’est engagé au PS

    Témoignage réalisé dans le cadre de la Minute Commune – spécial Engagement – Février 2016 – journal du Parti Socialiste de Vernier

    Quand on grandit aux Avanchets, on apprend beaucoup en matière de respect des différences, de solidarité et d’entraide. Ce quartier a été primordial dans mon engagement. J’ai souhaité très tôt améliorer le quotidien des autres. Comme beaucoup d’habitant-e-s de Vernier, je me suis engagé dans des associations sociales et/ou culturelles (Coopération Coup de Main, la Bisaigue, Vernier sur Rock, L’Eclipse notamment).

    C’est au Locle où je suis parti quelques années travailler en tant qu’éducateur spécialisé que j’ai adhéré au PS, et ce dans le but de m’intégrer et de mieux connaître les habitant-e-s. On m’a alors proposé de remplacer un élu démissionnaire au Conseil municipal. J’ai ainsi pu développer ma passion de la chose publique qui est restée intacte depuis.

    De retour à Genève, j’ai décidé de retourner m’installer à Vernier, au Lignon. En 2001, j’ai poursuivi mon engagement politique et ai été élu au Grand Conseil. En 2003, à 32 ans, je suis devenu maire de Vernier! J’ai depuis développé des réalisations qui me tiennent à cœur, comme les contrats de quartier qui ont inspiré de nombreuses autres communes. J’ai également doublé le nombre de places d’accueil en crèches, ouvert de nouvelles maisons de quartier, créé une association pour l’accueil familial de jour ou le dispositif unique que sont les correspondant-e-s de nuit, des médiateurs sociaux.

    Au Parti Socialiste comme à la Mairie, je m’engage pour des réponses concrètes, à l’écoute de la population. C’est la responsabilité qui incombe à la génération politique à laquelle j’appartiens. Et cette volonté de changer les choses et ce combat pour davantage de justice, c’est au Parti Socialiste que je l’ai trouvée, et je vous invite à nous rejoindre.

    Thierry Apothéloz
    Conseiller administratif de Vernier
    Président de l’Association des Communes genevoises, juriste et travailleur social

  • Victor Marin, 21 ans, étudiant, s’est engagé au PS

    Victor Marin, 21 ans, étudiant, s’est engagé au PS

    J’ai rejoint le PS il y a un peu plus de trois ans, à l’âge de 18 ans. Ma conscience politique s’est développée au fil des ans. Sont arrivées des révolutions au Proche et Moyen-Orient. Je voyais sur tous les écrans et journaux, des images de peuples rêvant de liberté, de justice et de paix.

    Mais ces rêves s’évanouirent le plus souvent dans le sang. Tous ces événements survinrent sur fond de crise économique, qui fut comme un catalyseur pour des idées d’un autre temps.

    Ainsi, je me rendis compte que face à tous ces problèmes, la solution n’était pas l’individualisme mais la solidarité. Pas l’exclusion de l’autre, mais le partage. Il faut se rassembler à une époque ou certains souhaitent la division. Exclure l’autre pour sa peau, sa religion, son nom, celui ou celle qu’il aime, sa maladie, son âge, son pays de naissance ou son revenu. Il est tellement plus simple de renvoyer un migrant au bout du monde que de se demander simplement «pourquoi est-il venu jusqu’ici ?». Il existe autant de réponses que d’habitant-e-s sur cette Terre. Une question à laquelle seuls les partis de gauche tentent de répondre. Une question d’humanisme défendue par le PS.

    Je suis étudiant et il me semble naturel de donner un peu de mon temps pour défendre une vision du monde plus juste, équitable, humaine et profitable à tous aujourd’hui et demain. Je partage un grand nombre de ces préoccupations avec le PS et ses membres, et pour toutes ces raisons (et plus encore), j’ai décidé de le rejoindre.